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BEAUTY AND SOUL

The ancient lost-wax process

The “Lost Wax” bronze casting method dates back thousands of years. Although the technique has evolved, it’s still much like it was in ancient times. It’s been said that bronze sculpture will be the longest-lasting of all human creations. The high cost of a bronze sculpture is due to the many weeks of hands-on-labor involved and the complexity of the process to complete a single bronze.

The first mold, made of silicone, produces an accurate imprint of the original work. Wax is then poured to become, once cooled down, the sculpture replica.
Next, casting tracks made from wax are added in order to clear the way for the melting metal.
The wax sculpture is quenched many times into ceramic chambers to shape the final mold through successive layers.
The final mold is then placed in an autoclave under high pressure, which discharges the wax. This frees space to be fill up by the molten bronze during casting.
Relying on sandblasting, polishing, welding and chiselling, the finisher and the carver insure the artwork respects the integrity of the original sculpture.
Finally, the patinas are applied under heat giving the vivid tones of final artwork.

L’ancien procédé à la cire perdue

La méthode de coulée du bronze « Lost Wax » remonte à des milliers d’années. Bien que la technique ait évolué, elle ressemble encore beaucoup à celle des temps anciens. On dit que la sculpture en bronze sera la plus durable de toutes les créations humaines. Le coût élevé d’une sculpture en bronze s’explique par les nombreuses semaines de travail manuel nécessaires et par la complexité du processus permettant de compléter un bronze.

Le premier moule, fait de silicone, prend une empreinte fidèle de l’œuvre originale. On y verse ensuite la cire qui, une fois refroidie, devient la copie conforme de la sculpture. Il faut alors ajouter les chemins de coulée en cire qui frayeront la voie au métal en fusion.
On trempe ensuite la pièce en cire dans les barbotines de céramique. Cette opération permet de construire par couches successives, le moule final.
On place ce dernier dans un autoclave, sous forte pression, qui évacue la cire. L’espace qui en résulte sert à recevoir le bronze en fusion, lors de la coulée.
C’est alors au tour du finisseur et du ciseleur de restituer à la pièce brute, par sablage, polissage, soudure et ciselure, l’intégrité de la sculpture originale.
Enfin, les patines, appliquées à chaud sur le bronze, viennent couronner l’œuvre et donnent à la sculpture des tonalités vivantes et chatoyantes.